Salle de théâtre

Regard sur la dramaturgie contemporaine

La Màquina Teatro - Salle de théâtre est située dans le centre-ville de Valence et dispose de 55 places. La salle est adaptée aux nouvelles normes sanitaires pour profiter du théâtre en toute sérénité.

Notre salle de théâtre est le cœur de l’École de Théâtre et de Danse et de la Compagnie de Théâtre. Nous sommes également ouverts à la programmation et à la collaboration avec d’autres compagnies de théâtre et de danse nationales et internationales avec lesquelles nous partageons des thèmes, des intérêts et des valeurs.

Notre objectif à La Màquina Teatro – Salle de Théâtre est de maintenir l’accent sur le contemporain, sur l’actualité, en étant un espace de réflexion, inclusif, social, familial et fortement lié à l’Amérique latine.

Saison 2024-2025

Periferia

La nouvelle saison de La Màquina, intitulée « Périphérie », embrasse ces régions qui gravitent loin du centre théâtral.

Cette dynamique centrifuge accélère notre processus d’ouverture sous la bannière « La Màquina Ouverte », réaffirmant notre vocation à construire des ponts vers les communautés autonomes dont les voix scéniques sont moins visibles. Périphérie s’érige comme un phare qui éclaire au-delà de l’orthodoxe, de l’établi et du centralisé, illuminant les contours où les propositions artistiques indépendantes trouvent refuge.

En mai, baptisé « le mois de La Màquina Ouverte », nous avons été accueillis par le Festival Visibles, une alliance qui prône l’inclusion et nous a permis d’élargir nos horizons, en érodant les barrières qui entravent l’épanouissement des arts de la scène valenciens.

Cette saison, aboutissement de notre quête inlassable durant huit ans, apporte à Valence une mosaïque de talents de toute l’Espagne. De la corniche cantabrique nous accueillons des compagnies des Asturies et de Cantabrie. L’arc méditerranéen est représenté par des groupes catalans et baléares, tandis que l’intérieur péninsulaire nous offre des propositions de Castille-et-León. Périphérie est notre regard vers les confins, ramenant au centre ce qui était marginalisé et rendant visible l’invisible.